Comme dans beaucoup de pays d'Afrique subsaharienne, l’Église catholique a joué et continue de jouer un rôle important dans le développement socio-économique du Burkina Faso.
Parmi les leçons qu'il apporte au monde et plus particulièrement pour l'avenir du monde, J. Attali note que c'est le manque qui est le moteur du développement. C'est à partir de cette leçon que Lucien RANAIVOARISOA a voulu sortir de la logique fonctionnaire et de cadre dans les sociétés pour aller plus loin et se lancer dans la création d'entreprises.
En se définissant comme « femme militante », cette enseignante de littérature française à la Faculté des Lettres et sciences humaines de l'Université Omar Bongo de Libreville souligne que, au-delà des questions strictement littéraires, la littérature est un instrument au service des nouveaux rapports homme-femme au Gabon.
Depuis quelques mois, les étudiants en droit privé comme en droit public, de niveau 2° et 3° cycle, de l'Université de Dschang et même du reste du monde qui le veulent peuvent suivre le cours de droit des sûretés qu'a mis en ligne Mme le Professeur Yvette Kalieu Elongo. C'est un cours bien fait et bien structuré en 9 chapitres avec des tests de contrôle des connaissances, une introduction et une bibliographie. Ce cours porte sur le droit des sûretés dans l'espace OHADA.
Généralement, on présente les individus et les sociétés d’Afrique à partir de leur origine ethnique. Et cette origine ethnique est entendue comme un marqueur définitif de leur identité. On dit alors d’un tel qu’il est fang, d’un autre qu’il est lari et d’un 3° qu’il est punu. Cela voudrait dire qu’il est irréductible à son ethnie. Cette posture a fondé l’idée longtemps entretenue d’oppositions « ethniques » comme fondement des relations entre les individus et à l’intérieur des pays. Du coup, tout conflit à l’intérieur d’un pays était expliqué sur cette base et sur rien d’autre.
Joseph Tonda bouscule cette réduction essentialiste des identités et, pour comprendre ces dernières, part du vécu des habitants d’Afrique centrale d’aujourd’hui ou plutôt de leur imaginaire, de l’imaginaire collectif qui est constamment en renouvellement et dépasse les cadres ethniques pour devenir plus « national », voire régional.
Toutes les sociétés émettent des déchets, que ceux-ci soient d'origine ménagers ou industriels. Et il faut plus que jamais les traiter et ménager l'environnement. Pendant toute la période où l’homme puisait ses matières premières du monde vivant, les produits de consommation courante (textile, colorant, savons … ) étaient d’origine végétale ou animale et étaient dès lors biodégradables.
Comme toute maladie dont les chercheurs n’arrivent pas à trouver une solution ou une réponse définitive, le paludisme (malaria) reste un sujet de recherche incontournable pour les chercheurs africains. Et cela pour une raison essentielle : il tue en Afrique, selon l’OMS, plus d’un million de personnes par an. C’est la première cause de mortalité en Afrique.
Des centres de recherche travaillent en Afrique sur cette maladie.
Au cours du XX° siècle, l'Afrique de l'Ouest a connu la plus forte décroissance de pluie observée dans le monde. C'est dire que, depuis quelques décennies, les variations du climat posent problème dans toute cette région. On passe d'une année à l'autre de fortes périodes de sécheresse en fortes périodes de pluie dues à la mousson. On ne compte plus les pertes en matière d'agriculture: baisse de la production, destruction des semences, mais aussi des pertes en matière d'élevage. Autrement dit, tout cela a des conséquences sur le bien-être des populations et sur l'environnement. Une telle variabilité soulève des questions essentielles pour le développement durable de cette région déjà très vulnérable du fait d'une augmentation démographique qui est aujourd'hui parmi les plus rapides au monde.
Une telle situation ne pouvait ne pas intéresser quelques laboratoires et scientifiques africains.
Ils sont médecins, philosophes, anthropologues, physiciens, agronomes et ils ont fait le choix de rester sur leur continent sans pour autant renoncer à la recherche internationale. Ce sont souvent des chercheurs inconnus du grand public. L'Agence Universitaire de la francophonie détecte et aide ces chercheurs dans les universités d'Afrique Francophone.
Si vous aussi vous connaissez des chercheurs qui font avancer le continent, faites-les connaître sur ce blog !
Rejeton de la crise universitaire, sociale et politique qui, en 1990, secoue la Côte-d’Ivoire entière, le zouglou est une création musicale des étudiants en révolte contre la société. Le zouglou se chante en français populaire ivoirien et en nouchi, le langage des jeunes de la rue. Cette musique « nationale » de la Côte d'Ivoire est marquée par l'originalité de son répertoire, la résonance sociale des thèmes abordés et la transformation des outils audio (passage du vinyl à la K7 et au cd.)
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Comme dans beaucoup de pays d'Afrique subsaharienne, l’Église catholique a joué et continue de jouer un rôle important dans le développement socio-économique du Burkina Faso. 
Depuis quelques mois, les étudiants en droit privé comme en droit public, de niveau 2° et 3° cycle, de l'Université de Dschang et même du reste du monde qui le veulent peuvent suivre le cours de droit des sûretés qu'a mis en ligne Mme le Professeur Yvette Kalieu Elongo. C'est un cours bien fait et bien structuré en 9 chapitres avec des tests de contrôle des connaissances, une introduction et une bibliographie. Ce cours porte sur le droit des sûretés dans l'espace OHADA.
Généralement, on présente les individus et les sociétés d’Afrique à partir de leur origine ethnique. Et cette origine ethnique est entendue comme un marqueur définitif de leur identité. On dit alors d’un tel qu’il est fang, d’un autre qu’il est lari et d’un 3° qu’il est punu. Cela voudrait dire qu’il est irréductible à son ethnie. Cette posture a fondé l’idée longtemps entretenue d’oppositions « ethniques » comme fondement des relations entre les individus et à l’intérieur des pays. Du coup, tout conflit à l’intérieur d’un pays était expliqué sur cette base et sur rien d’autre.
et ils ont fait le choix de rester sur leur continent sans pour autant renoncer à la recherche internationale. Ce sont souvent des chercheurs inconnus du grand public. L'Agence Universitaire de la francophonie détecte et aide ces chercheurs dans les universités d'Afrique Francophone.
Rejeton de la crise universitaire, sociale et politique qui, en 1990, secoue la Côte-d’Ivoire entière, le zouglou est une création musicale des étudiants en révolte contre la société.