Ils sont médecins, philosophes, anthropologues, physiciens, agronomes et ils ont fait le choix de rester sur leur continent sans pour autant renoncer à la recherche internationale. Ce sont souvent des chercheurs inconnus du grand public. L'Agence Universitaire de la francophonie détecte et aide ces chercheurs dans les universités d'Afrique Francophone.
Si vous aussi vous connaissez des chercheurs qui font avancer le continent, faites-les connaître sur ce blog !
 

Amélie Niard, s’est rendue dans la région de Kayes voir les écoles communautaires financées par les migrants.

C’est une drôle d’impression que de visiter les universités du Qatar.

Ce mélange d’opulence et de campus américains sur fond de femmes voilées. Les filles sont partout ultra majoritaires, pour ne pas dire écrasantes, par rapport aux garçons bien ternes. Intarissables les filles, dés qu’on leur tend un micro. On pourrait rester des heures à les écouter, vautrées sur la moquette épaisse de leur salle de repos dans les campus. C’est confort, c’est ouaté, ça rigole sous l’abaya noire. Mais ça refuse de s’assoir à côté des garçons autour d’une table pour débattre sur RFI. Compromis : je m’assieds entre elles et les garçons. « Ok go on ».